ous trouverez sur cette page, de manière non structurée dix objections permettant de répondre aux attaques contre l'Eglise. Nous vous invitons : 1.- à nous communiquer d'autres objections opportunes, 2.- de nous dire de ces dix objections, quelles sont les trois plus utiles et ce qui permettrait de mieux les argumenter.
Nota bene : la plus part des données historiques utilisées sont issues d'une étude : Histoire de l'homosexualité, dont la lecture montre un auteur particulièrement anti-catholique et particulièrement positionné à gauche politiquement. L'on ne pourra pas nous accuser d'être allé chercher dans des sources partisanes qui nous sont favorables. |
1.- La difficulté que l’Église a pour intervenir dans le domaine de la sexualité, c’est que n’ayant pas de terminologie particulière, elle se laisse enfermer dans une terminologie forgé par ses ennemis sur les mots de : hétérosexualité, homosexualité, bisexualité et pédophilie.
Un des grands étonnements des païens du IIe au IVe siècle au sujet des chrétiens était leur chasteté. Les vraies révolutions et libérations sexuelles de tous les temps ont été faites par l'Eglise à cette époque. Si l'Eglise n'avait pas abolie l'esclavage, elle enseignait que le maître de l'esclave, n'était pas maître du corps de son esclave, que l'esclave était maître de son corps. L'on peut constater encore de nos jour cette vision païenne dans certains pays musulmans ou l'homme qui embauche à la journée une femme de ménage peut user d'elle, même pour ses vils désirs. Le christianisme a privatisé la sexualité, il l'a rendue intime, il l'a faite sortir de la sphère du public. Si la chasteté n'était pas vécue parfaitement par les chrétiens, son enseignement faisait que les méfaits causés par la sexualité illégitime en étaient limité comme problème de société. La conséquence logique dans la doctrine de l'Eglise c'est que la sexualité fait l'objet d'une discrète attention.
Il semble que dès le XVIIIe siècle l'Eglise perde la maîtrise de la communication sur les problèmes de sexualité. C'est Samuel Auguste Tissot, un médecin Suisse qui transportera la sexualité illégitime du domaine du péché à celui de la maladie, le prêtre doit laisser sa place au médecin. Il s'attaque médicalement à la masturbation, il fait l'admiration de Voltaire et de Rousseau. Les ennemis de l'Eglise ont compris que parler de la sexualité même en mal est une bonne chose, car c'est en parler, c'est la mettre dans la sphère publique.
Il faut attendre la deuxième moitié du XIXe siècle pour que Kertbeny, un psychiatre hongrois forge les mots de homosexualité et un deuxième mot pour compléter le premier : hétérosexualité. Les catholiques auraient dû répondre en forgeant leurs propres termes, par exemple celui de : orthosexualité, pour montrer l'inadéquation du terme de hétérosexualité qui signifie éthymologiquement : autre sexualité.
La première urgence des catholiques seraient qu'ils forgent eux même de nouveaux termes sur la sexualité en utlisant la langue latine pour éviter toute confusion avec les mots existants qui utilisent des préfixes et suffixes grecques.
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2.- Dérive du mot et de la notion de pédophilie.
Premier sens : Au XIXe siècle le mot pédophile est défini par le Grand dictionnaire universelle du XIXe siècle (Larousse) par : qui aime les enfants.
Deuxième sens : c’est peut-être Freud qui s’en empare pour en pervertir le sens, qui devient : qui a une attirance sexuelle pour les enfants non pubère. Nous trouvons aussi dans le Trésor de la langue française : pédophile, subst. Personne éprouvant une attirance sexuelle pour les enfants (d'apr. CARR.-DESS. Psych. 1976). Le ou la pédophile n'est en principe troublé(e) que par des sujets non encore pubères. Ainsi, quelques femmes prennent feu pour des petits garçons (BERTR.-LAPIE 1970).
Troisième sens : Affaire Dutroux. Imaginer que je rentre chez une bonne vielle dame, que je frappe son chat, je lui vole ses économies et pour terminer je la tue. Il ne conviendrait pas de me qualifier de frappeur de chats, bien que ceci soit une chose bien vile, le fait d’avoir tué la vielle dame est plus grave, la logique veut que je sois qualifié de meurtrier. Le monstrueux Dutroux, kidnappait, séquestrait, torturait, violait et tuait ses pauvres victimes. Il aurait dû être qualifié du terme de meurtrier, il le fut du terme de pédophile. Ses victimes avaient toutes atteint la puberté, donc on ne pouvait pas le qualifier de pédophile, mais en plus elles avaient dépassés l’âge de la majorité sexuelle qui est de 15 ans aussi bien en France qu’en Belgique. Mais pour le public le pédophile est devenu le pervers qui kidnappait, séquestrait, torturait, violait et tuait des petits enfants de moins de 12 ans.
Quatrième sens : Affaire Outreau, elle se situe au début des années 2000, et elle se base sur l’affirmation que les pédophiles agissent en réseaux internationaux. En bref le monde est menacé par un complot international de pervers sexuels qui kidnappent des tout petits enfants, les séquestrent, torturent, violent et tuent.
Maintenant lorsque les media parlent de prêtres pédophiles, immédiatement dans l'esprit du public, vient à l'esprit que ce sont obligatoirement des kidnappeurs d'enfants, tortureurs, violeurs et meurtriers. Alors que dans presque tous les cas, cela ne se passe pas avec des enfants pré-puberts, certains ont même 17 ans, ils sont consentant pour la plus part des cas et ils y reviennent, ils ont un rôle sexuellement actifs. Il y a aussi les cas avec des victimes jeunes non-concentantes, mais dans les deux cas le prêtre est tout aussi responsable et mérite une réduction à l'état laïcs, comme cela devrait être le cas pour le prêtre qui aurait une maîtresse régulière ou occasionnelle, car tous sont cause de troubles et de scandales et surtout pratiquant d'un péché mortel.
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3.- Relation entre l’importance des indemnités versés aux victimes et déclarées victimes et nombre d’accusation de prêtres pédophiles.
On peut aussi s'interroger sur la relation entre l'importances des indemnités versées et le nombre d'accusations. Les deux grands pays secoués par les scandales médiatiques des prêtres pédophiles sont les USA et l'Irlande. Dans le premier pays, deux milliards de dollars ont été versés par l'Eglise catholique (pays de quatre cent millions d'habitants) et dans le deuxième l'Etat irlandais a versé un milliard d'euros (pays de quatre millions d'habitants). Ces indemnités étant versés pour éviter des procès publics,on peut aussi s'interoger sur le sérieux de l'instruction des dossiers, ou sous prétexte que ce serait donner des justifications au crime que le prêtre puisse de défendre ou défendre le prêtre qui ne paiera pas de sa poche les indemnités versées. Souvenons-nous en France, avec l'Affaire Outreaux, on peut être accusé de pédophile, même être condamné par la justice, et être innocent. Les accusés d'Outreaux ont bénéficié d'une grande couverture médiatique, mais combien de la trentaine de prêtres et religieux français qui purgent leur peine de prison pourraient être innocents ?
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4.- Une très grave responsabilité du scandale pédophile incombe à certains membres administratifs de diocèses des USA.
Nous pourrions dire que les églises catholiques des USA sont responsables puisque elles-même, en payant des indemnités ont reconnues leur tords. Nous pourrions le faire aussi de ces évêques qui ont accepté de verser ces sommes pour éviter des procès à scandales. Mais par charité, nous referont accuser certains membres des administrations diocésaines qui ont conseillé une abominable stratégie juridique. Il ne fallait en aucun cas négocier des indemnités, si des prêtres étaient coupables, ils devaient allé en prison et que l'on prenne sur leur biens propre les indemnités, si des évêques ou tout autre responsables étaient coupables il fallait les laisser partir en prison. Maintenant les diocèses des USA s'honoreraient s'ils lançaient une sérieuse enquête pour savoir qui dans leurs administration est coupable de ce scandale.
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5.- Les catholiques doivent réagir en attaquant la pédosexualité ;
A la fois le monde accuse l'Eglise de pédophilie, argumentant sur le fait qu'un acte sexuel serait le plus grand des traumatismes pour un enfant et de l'autre il promeut la sexualité infantile. L'on se souvient dans les années 90, ces émissions radiophoniques ou des animateurs recevaient des coups de téléphone pour faire parler de jeunes adolescents de leur sexualité. Il y a des cas comme la chanson de Yves Duteil, Prendre un enfant par la main, peut être écrite dans un bon esprit, mais qui pourrait faire l’objet de devience de certains. Cette chanson avec les termes de Prendre son enfant par la main serait des plus beau, mais la progression faite par : Prendre un enfant par la main ; un enfant dans ses bras ; sur son coeur. ; contre soit ; Tout doucement, sans parler, sans pudeur ; Verser des larmes en étouffant sa joie. Il y a des cas comme une publicité de la Renault Megane, ou l'on voit deux enfants non pubère s'interressait particulièrement à l'entre cuisse d'une femme majeure. Les catholiques pourraient et même devraient faire des scandales au sujet des diffusion sur les chaînes de télévision nationale des dessins animées de Titeuf, qui promeuvent la sexualité des enfants. Ces derniers jours nous pouvons voir en très grandes affiches au Forum des Halles à Paris une exposition photographique appellée Père et fils, une tendance montre les modèles âgés au-dessus du nombrils et les jeunes au dessous. La prise de vue fait suggérer qu’ils sont nus, l’endroit probable des mains peut aussi donner une autre suggestion. Voila de tels exemples que les catholiques devraient publiquement attaquer au nom du principe de précaution.
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6.- Les catholiques doivent dénoncer l'introduction de la sexualité dans la sphère publique.
Cela doit commencer par la dénonciation des publicités et films qui font la promotion de la famille recomposée. Dans ce domaine, une des plus grandes dénonciations de l'Eglise devrait être celle de la pornographie, fait en premier, en esprit de charité, sur la condition des modèles et actrices de cette industrie. Une prostituée peut s'en sortir, malgrès tout, et avec beaucoup de chance se marier et avoir des enfants à condition de déménager loin du lieu de ses anciennes activités. Hormis exception, l'actrice de porno ne le peut pas, recruté en lui faisant croire qu'elle pourra faire du cinéma normal par la suite, elle est achevé à la cocaïne pour qu'elle ne connaisse pas sa trentième année. Nous nous trouvons presque toujours devant une réelle exploitation de personnes vulnérables dans le sens psychologique du terme. Des associations catholiques devraient les rencontrer pour leur présenter des avocats afin qu'elles puissent porter pleinte contre ceux qui exploitent leur vulnérabilité, et réclamer à ces industries et aux journeaux qui les promeuvent les mêmes indemnités qui ont été réclamé à l'Eglise catholique.
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7.- Provoqué par des média connus pour la promotion de la licence des mœurs, ce scandale a comme effet à court terme, de déculpabiliser les pédophiles en leur disant que leurs pratiques sont partagées par les prêtres. Ce scandale permet aussi au patron qui harcèle sa secrétaire, au producteur télévision qui demande des faveurs à ses stagiaires d'avoir bonne conscience.
8.- L’effet à long terme de ce sandale médiatique sera la légalisation de la pédophilie.
Cela commence au XVIIIe siècle, avec l'éceurante histoire de Rousseaux et de son aventure avec un Maure. L'auteur se fait entrepreprendre, et même entretenir, en échange d'une attitude qui aurait été l'objet d'un rejet immédiate de toute personne normale. S'il refuse de passer au lit c'est que l'autre sent mauvais et après il fait un scandale pour salir l'institution dans laquelle il se trouve.
Souvenons-nous au XIXe, c’est sous la pression de la presse de gauche que l’homosexualité a été pénalisé, ce siècle résonna de scandales homosexuels pour dévaloriser à l’époque, non pas l’Eglise, mais l’armée et la noblesse. Après la gauche éleva l’homosexualité au rang d’apothéose de l’homme libéré de toute contrainte, au même titre que l’avortement l’est pour la femme. La promotion de l’homosexualité et de l’avortement sont le combat pour inverser la nature des désires humains. Ce que la gauche fit avec l’homosexualité au XIXe, elle le fera avec la pédophilie au XXIe siècle.
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9.- Le scandale des prêtres pédophiles cache en réalité un réel problème : celui des prêtres homosexuels. Car dans la plupart des cas, les victimes n'étaient pas des enfants non-puberts, mais des garçons puberts. Nous nous trouvons en face de crimes homosexuels.
10.- Le scandale médiatique sur les prêtres pédophiles est une ode à la vertu de l’Eglise.
Tout homme honnête sait que les crimes de pédophiles existent dans une grandeur bien plus grande dans d'autres religions, comme dans l'islam, d'autres corps comme celui des enseigenants, mais en le reprochant particulièrement à l'Eglise, le monde ne fait qu'admetre qu'elle est mère et maitresse de l'humanité.
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